Radio Crésus : émission spéciale « flambeurs » 

Bienvenue sur Radio Crésus pour une émission spéciale consacrée aux flambeurs, ces passionnés du jeu qui sont, dans l’imaginaire collectif, le public de prédilection du surendettement.

Et pourtant, face aux accidentés de la vie, face aux travailleurs pauvres et à ceux qui se sont fait happer par la spirale des crédits à la consommation, les flambeurs sont surement les moins présents dans les dossiers.
Selon une étude menée par l’Université Paris Descartes en octobre 2013 sur plus de 500 personnes accompagnées par Crésus, moins de 6% d’entre elles sont surendettées à cause du jeu excessif. 
Au-delà de ces chiffres, Radio Crésus a décidé aujourd’hui de vous faire entrer dans l’univers du flambeur. Forgez-vous votre propre opinion à l’écoute de témoins qui ont accepté de parler de leur passion du jeu.   . 
 
Interview de d’Albert AZOULAY, figure emblématique du flambeur
 
Albert AZOULAY, 65 ans, est l’auteur de deux  ouvrages autobiographiques qui retracent son parcours de flambeur sur plusieurs dizaines d’années.  Il est aujourd’hui sorti de l’enfer du jeu et nous livre, sur Radio Crésus, son expérience et son regard sur la vie de flambe que fut la sienne.
 
  • Pourquoi avez-vous accepté de témoigner sur Radio Crésus ? 
  • Qu’est ce qu’un flambeur ?  
  • Comment le flambeur voit-il l’argent ? Qu’est ce que l’argent pour un flambeur ? 
  • Les motivations du flambeur sont-elles les mêmes que celle du joueur ? 
  • De quoi a peur le flambeur ? 
  • Pourquoi ne s’arrête-t-on pas lorsque le voit tout le malheur que cela entraine  pour soi et pour son entourage ?  
  • Comment prévenir  l’entrée  dans l’enfer du jeu ? Peut-on l’éviter ? 
  • Quel a été votre élément de changement  pour vous ? 
Pour en savoir plus.
Jeu excessif et  surendettement : le témoignage de Clothilde
CLOTHILDE  témoigne de sa vie avec son époux  qui dépensait régulièrement 300 euros par mois pour jouer  alors que leurs ressources ne dépassaient pas 1 500 € par mois. La passion du jeu a été, pour une partie,  la cause de leur surendettement. Comment Clothilde a-t-elle vécue cette situation ? Quels  moyens de défense a-t-elle mise en œuvre ? Quel regard porte-elle sur le jeu ? 
Ils témoignent de leur situation de surendettement 
ALAN, quant à lui, s’est endetté pour faire vivre son entreprise et combler la manque de trésorerie, son fonds de roulement étant insuffisant ; après un long parcours, il a déposé un dossier de surendettement. 
 
SIMDAN avait trop de crédits. En 2012, Il a fait un rachat de crédits mais cela ne s’est pas passé comme il l’imaginait.  
Au lieu d’améliorer son sort, il est tombé de plus haut : il doit aujourd’hui  65 000 euros  de crédits et frais  divers. Comment peut-il s’en sortir avec 1 500 € de pension de retraite mensuelle ? 
 
PAMELA vit une véritable galère depuis un grave  accident de travail qui  lui a fait perdre son emploi. Elle a obtenu un effacement de ses dettes grâce à la procédure de surendettement. Malgré sa reconversion professionnelle, elle n’a pas retrouvé d’activité et vit aujourd’hui de minima sociaux : la procédure de surendettement ne règle pas toutes les difficultés financières.
 

Animateur : Régis Halter
Réalisation : Olivier Legras

 

 

 

Alain témoigne sur RadioCrésus : suite à des problèmes de santé, ses revenus baissent sensiblement et il n’arrive plus à faire face. Comment va-t-il s’en sortir ? 

Marie, elle aussi, doit faire face alors que son état de santé se dégrade : elle s’exprime et nous parle de sa situation « tout d’un bloc », et libère sa parole.
 
Juliette avait une situation professionnelle « confortable »  en  Allemagne avec ses  2 300 € par mois. Tout a basculé il y a 12 ans avec son licenciement et une acquisition immobilière à devoir financer. 
 
Karim, 55 ans, a été chef d’entreprise d’un cabinet conseil. Son activité, florissante un temps, s’est dégradée et le défaut de son client principal a précipité le fin de son activité.  A cela s’est ajouté la séparation avec son épouse et un investissement dans l’immobilier rendu complexe : Karim témoigne longuement sur RadioCrésus.
 
Enfin, Martin vit encore aujourd’hui les effets d’un divorce engagé il y a 7 ans. Tout est devenu plus compliqué en raison d’une maison d’une valeur de 500 000 euros, bien commun aux époux, qui n’a pu être vendue rapidement.  C’est grâce au soutien de sa famille et de ses amis qu’il a pu résister : aujourd’hui il doit encore  200 000€. Écoutez son témoignage et ses conseils sur RadioCrésus. 

 

L’invitée de RadioCrésus : Aude MASSOT pour sa « Chronique du Samu Social », reportage graphique. 

 

 

Aude Massot, auteure et dessinateur de bandes dessinées, présente aux auditeurs de radioCrésus  sa remarquable bande dessinée « Chronique du 115 », véritable reportage en dessins de l’histoire du SAMU social.  
 
Dans la veine des « Chroniques de Jérusalem » de Guy DESLISLE, Aude MASSOT nous immerge dans le monde du Samu social, son origine, son quotidien, ses questionnements et ses valeurs.
 
A quand la « Chronique du surendetté en France » ? 
 
Références : Aude MASSOT, Chronique du 115, une histoire du SAMU SOCIAL, reportage graphique aux éditions STEINKIS.
 

Animateur : Régis Halter
Réalisation : Olivier Legras

Émission Radio Crésus de Noël : Entrepreneurs, cette émission est pour vous !   

 

 
5 personnes témoignent sur radio Crésus : Claude, Alexandre, Manu, Sébastien et Suzanne.
 
Tous nous dévoilent leur parcours d’embuches et de difficultés financières et la manière dont ils se battent au quotidien pour s’en sortir !
 
Alexandre, Sébastien et Suzanne avaient chacun leur entreprise :  écoutez radio Crésus pour comprendre que la vie du chef d’entreprise est un combat sans relâche et que le rêve peut vite basculer…
 

 

En novembre écoutez le mois de l’ESS !

Bienvenue sur Radio CRÉSUS en ce samedi 5 novembre 2016 !

Emission spéciale CRÉSUS consacrée au mois de l’Economie Sociale et Solidaire.

L’Économie Sociale et Solidaire au secours  des entreprises en difficulté ! Mythe ou réalité ? L’ESS peut-elle prévenir, voire enrayer, les difficultés des entreprises ? 
 
En France, chaque année ce sont près de 63 000 entreprises qui défaillent.
Cela représente une défaillance d’entreprise toutes les 8 minutes. 
  • 2 % des entreprises font l’objet d’une sauvegarde
  • 28 % d’un redressement judiciaire
  • et 70 % d’une liquidation 
Ce sont les très petites entreprises  et petites et moyennes entreprises  les plus touchées : elles représentent 98 % des entreprises en France.
La vie économique est marquée à la fois par un grand nombre de créations  et  de cessations d’activité. 
L’enjeu économique et social est crucial.
Préserver un tissu entrepreneurial, c’est préserver et aussi développer  l’emploi,  c’est assurer le maintien et la transmission du savoir-faire de l’entreprise et des compétences  de ses collaborateurs, c’est assurer une dynamique sur un territoire et en tirer  tous les bénéfices  induits en termes de logement, de commerces et de vie sociale.
Et l’Économie Sociale et Solidaire  dans tout ça ? 
L’ESS est indéniablement concernée.
L’économie sociale et solidaire rassemble aujourd’hui plus de 221 000 établissements employeur en France et représente 10 % du Produit Intérieur Brut. 
Les entreprises de l’économie sociale et solidaire emploient plus de 2,36 millions de salariés : 1 emploi privé sur 8 relève de l’ESS en France.
Les entreprises sont-elles moins exposées aux défaillances lorsqu’elles relèvent de l’économie sociale et solidaire ? 
 
L’Économie Sociale et Solidaire au secours  des entreprises en difficultés ! Mythe ou réalité ? 
Pour s’y retrouver, des experts et des acteurs de l’ESS  sont présents sur Radio CRESUS et répondent aux questions qui nous mobilisent :
 
Qu’est-ce qu’une entreprise défaillante ? 
 
Michel KNOELL, fondateur de CRÉSUS et expert sur la question ainsi que Chervin RAHIMIAN, salarié-doctorant apportent leurs lumières ; 
 
Quel rôle joue la CRESS Alsace dans l’aide aux entrepreneurs ?
 

Marc BRIGNON, secrétaire général de la CRESS Alsace, nous dit tout sur le Chambre Régionale de l’Economie Sociale et Solidaire d’Alsace ;

 
Existe-t-il une solidarité entre acteurs de l’ESS en cas de difficultés ? 
 
Patrick KOCHERSPERGER, délégué de  l’Union des employeurs de l'économie sociale et solidaire (UDES) et Président de l’association Aide et Intervention, nous apporte un regard sans concession sur l’économie sociale et solidaire.
 
Les SCOP et les coopératives d’activité et d’emploi sont-elles les remèdes à la défaillance des entreprises ? 
Françoise BOISSIERE, Gérante  de la société ReFormE REGROUPEMENT FORMATION EMPLOI, représentante de l’Union Régionale des SCOP et Jean François CERF, associé d’ANTIGONE, nous guident sur le chemin des entreprises « nouvelles définition » : sont-elles plus robustes pour éviter le risque de défaillance ? 
 
CRÉSUS remercie l’ensemble des intervenants pour leur contribution à cette émission. 
 
Liens utiles 
10 h 30 - Patrick KOCHERSPERGER, délégué de  l’Union des employeurs de l'économie sociale et solidaire (UDES) et Président de l’association Aide et Intervention du Haut-Rhin Nord. 
 
CRÉSUS : M KOCHERSPERGER, 
Expérience d’une entreprise de l’ESS qui a connu des difficultés 
 
Crédit d’impôts de compétitivité et d’emploi : impact sur les acteurs de l’ESS ?
 
CRÉSUS : L’économie sociale et solidaire dispose d’outils spécifiques d’accompagnement à la recherche de financement (ADIE, Initiative France, Réseau Entreprendre, BGE, France active,…)
 
Agrément "entreprises solidaire d'utilité sociale " ESUS
Depuis le 1er juillet 2015, les entreprises de l'ESS peuvent demander un agrément "entreprises solidaire d'utilité sociale " auprès de la préfecture de leur siège social.
Le principal avantage de cet agrément est de permettre aux structures éligibles d'obtenir des fonds issus de l'épargne salariale solidaire et de bénéficier de dispositifs de financement spécifiques de Bpifrance. ( Banque publique D’investissement ).
 
Il permet également de bénéficier du dispositif local d'accompagnement (DLA) et de quelques avantages fiscaux pour les éventuels investisseurs (ISF-PME et IR MADELIN - volet Solidaire).
Les conditions d'obtention de cet agrément ont été précisées par le décret du 23 juin 2015. L'arrêté du 5 août 2015 fixe le modèle de dossier de demande d'agrément et dans une instruction du 20 septembre 2016.
Les entreprises de l'économie sociale et solidaire (ESS) sont éligibles à l'agrément (ESUS) si elles remplissent les conditions suivantes :
 
  • poursuivre une utilité sociale (soutien à des publics vulnérables, cohésion territoriale ou développement durable), cet objectif devant figurer dans les statuts de l'entreprise,
  • prouver que l'utilité sociale impacte le compte de résultat de manière significative,
  • avoir une échelle de salaires respectant 2 conditions : la moyenne des rémunérations versées aux 5 salariés ou dirigeants les mieux rémunérés ne doit pas excéder un plafond annuel fixé à 7 fois le Smic et la rémunération versée au salarié le mieux rémunéré ne doit pas excéder un plafond annuel fixé à 10 fois le Smic,
  • les titres de capital de l'entreprise ne doivent pas être négociés sur un marché financier.
Certaines structures relevant de l'économie sociale et solidaire bénéficient de l'agrément de droit, en raison de leur activité. 
Il s'agit notamment des structures suivantes : entreprises d'insertion ou de travail temporaire d'insertion, associations intermédiaires, ateliers et chantiers d'insertion, organismes d'insertion sociale, services de l'aide sociale à l'enfance, centres d'hébergement et de réinsertion sociale, entreprises adaptées, centres de distribution de travail à domicile, établissements d'aide par le travail (EAT), associations et fondations reconnues d'utilité publique, établissements et services accompagnant et accueillant des enfants et des adultes handicapés.
 
CRÉSUS : Les acteurs de l’ESS jouent-ils le jeu de la solidarité entre eux, valeur prônée par l’ESS ? 
CRÉSUS : Les banques mutualistes  et coopératives sont-elles plus enclines à faire du crédit  aux entreprises ? 
CRÉSUS : De votre expérience, le monde de l’ESS est-il plus sécurisant pour l’entreprise ? 
CRÉSUS : Est-ce que cela fait une différence d’être dans l’ESS plutôt qu’en dehors ? 
CRÉSUS : Quelles conclusion à la question ; l’ess au secours des entreprises en défaillance ? Mythe ou réalité ? 
 

11 H 00 - Jean François CERF, pour ANTIGONE (associé)

Les coopératives d’activité et d’emploi pour prévenir les risques de défaillance ?  
Dans la mythologie grecque, Antigone (en grec ancien Ἀντιγόνη / Antigónê) est la fille d'Œdipe, roi de Thèbes, et de la reine Jocaste.  Elle guide son père sur les routes après que celui-ci, ayant réalisé qu'il a tué son père et épousé sa mère, s'est crevé les yeux en se condamnant à une vie d'errance.
 
CRÉSUS : Qui est ANTIGONE ? 
 

Sur internet moteur de recherche : Antigone| Accompagner les entrepreneurs en collectif

 
Missions : 
  • accompagner les entrepreneurs dans la formalisation de leur projet
  • dans la réflexion stratégique et les démarches opérationnelles.
  • Animer les ateliers collectifs. Développer le réseau de la coopérative et traiter les tâches de gestion courante. 
  • Ensemble, nous essaierons d’activer tous les leviers pour le développement de votre projet. »
Les coopératives d’activité et d’emploi s’adressent à des personnes
  • voulant tester en « grandeur nature » leur projet d’activité économique
  • tout en bénéficiant d’un statut protecteur « d’entrepreneur-salarié »
  • en étant accompagnés par les salariés de la coopérative CAE)
  • et bénéficiant de leur expertise en gestion comptable et administrative
Questions CRÉSUS
  • Concrètement, comment cela fonctionne ? 
  • Quels sont les avantages ? 
  • Les modalités de mise en œuvre de l’accompagnement ? 
  • Combien cela va-t-il couter ? 
  • Pourquoi les CAE sécurisent-elles le parcours des entrepreneurs ?  
  • Où trouver Antigone ? Adresse / Téléphone 

12 h 30 - Reprendre une entreprise en difficulté en SCOP

Françoise BOISSIERE, URSCOP Est - Alsace, Champagne-Ardenne, Lorraine - Union régionale des SCOP 
L’économie sociale et solidaire  propose aujourd’hui  une réponse en cas de défaillance d’entreprise : reprendre l’activité sous forme de SCOP : société coopérative et participative. 
Dans ce modèle d’entreprise, les salariés deviennent des associés.
 
La motivation  des salariés : sauver leur  propre emploi,  préserver un savoir-faire quelque fois ancestral ou  sauvegarder une qualité de production unique.
 
Les avantages  : 
  • Les salariés deviennent associés et ont voix au chapitre dans le direction de l’entreprise
  • Des aides financières  au démarrage sont versées  ( subventions et les aides publiques sont
  • L’ ACRE (Aides à la Création et reprise d'Entreprise, est versés aux salariés-associées
  • la SCOP est  exonérée de charges sociales pendant un temps comme pour toute création de société
  • Mais attention ; Lorsque les charges sont à nouveau à payer, il vaut mieux avoir les reins solides.
Françoise BOISSIERE, Gérante  de la société REFORM E REGROUPEMENT FORMATION EMPLOI, représentant de l’Union Régionale des SCOP 
Formation continue d'adultes, formation continue, la formation interne des administrations publiques la formation professionnelle destinée à des adultes entrés dans la vie active

 

CRÉSUS : 
Françoise BOISSIERE, comment se monte la reprise d’une entreprise par ses salariés
  • Quelle est la spécificité d’une SCOP par rapport à une  entreprise en SA/SARL classique  ? 
  • Quels financements pour les SCOP ? 
  • Quel rôle peut jouer l’Union Régionale des SCOP de l’EST pour aider à la reprise ? 
  • Quel conseil donner pour éviter la défaillance de sa SCOP ? 
 
Le 36ème congrès des SCOP qui a eu lieu les 20 et 21 octobre 2016 à  Strasbourg. Un évènement qui a rassemblé 1200 personnes venues de toutes les régions de France 
A voir le bilan du Congrès des SCOP sur le site internet : scop2016.coop
 
Le lundi 21 novembre 2016 de 17 h 30 à 19 h 00 allez à la librairie KLEBER  à Strasbourg pour en savoir plus sur les entreprises coopératives, c’est libre et tout public et c’est un des évènements du Mois de l’ESS ! 
NB : La reprise d'entreprise par les salariés ne concerne pas que des activités déficitaires ou les entreprises défaillantes ou liquidées Le personnel n'est pas uniquement appelé à la rescousse quand l'entreprise va mal 

Vers 12h00 - 12h15 - MACIF - ITW de M. Floréal SANCHEZ sur Radio CRÉSUS

Les risques de la non assurance : les réponses de CRÉSUS et de La MACIF 
De plus en plus de personnes négligent ou n’arrivent plus à  payer leurs assurances obligatoires automobiles  ou  multirisques habitation, et bon nombre renonce à l’assurance santé. 
Rappelons que le nombre d’automobilistes qui roulent sans assurance a augmenté de + de 40% en 6 ans (Selon le  Fonds de garantie des assurances obligatoires (FGAO). 
Est-ce vraiment  risqué de ne plus payer ses assurances ? Quelles peuvent-en  être les conséquences  ?
 
La Macif, partenaire de CRÉSUS, vous répond sur Radio CRÉSUS - Invité : M Floréal SANCHEZ de la MACIF. 
 
Question CRÉSUS : CRÉSUS rencontre quotidiennement des personnes qui n’arrivent  plus  à boucler leurs  fins de mois. Pourquoi devraient-elle continuer à  payer leurs assurances ? 
(Distinguer assurance obligatoire/ facultative) 
 
  • Question CRÉSUS : M. SANCHEZ, Est-ce vraiment risquer de ne pas payer ses assurances ? Quelles sont  les conséquences en cas de réalisation du risque ? Pouvez-vous donner un exemple concret à nos auditeurs ? 
  1. Pour l’assurance automobile 
  2. Pour l’assurance habitation ( ex : motif résiliation bail)
  3. Pour l’assurance santé
  • Question CRÉSUS : Est-il vrai que ces conséquences peuvent se répercuter sur mes héritiers ? 
  • Question CRÉSUS : Si je suis en retard de paiement pour mon assurance, quel délai ai-je pour régulariser ma situation avant qu’il ne soit trop tard ? 
  • Question CRÉSUS : Est-il possible de trouver des assurances adaptés à des revenus modestes ? 
  • Question CRÉSUS : Quelquefois, les assurances refusent d’assurer une personne en raison de son état de santé.  Existe-t-il une réponse pour ces personnes ? 
  • Précision CRÉSUS : CRÉSUS a crée un programme éducatif budgétaire qui s’appelle DILEMME pour bien comprendre comment  fonctionne les assurances et aussi les services bancaires. La MACIF soutient Crésus dans le déploiement de  DILEMME : cela permet d’être mieux armé au quotidien  et d’avoir les bonnes pratiques en matière d’assurance. 
  • Question CRÉSUS  : En conclusion, quel conseil pour éviter la non assurance ?

 

 

Animateur : Regis Halter, Fanny Schillinger
Réalisation : Olivier Legras

 

Ecoutez les conseils donnés par nos témoins sur radio Crésus :

1. Paul était président d’une SAS employant plus d’une vingtaine de personnes. Victime d’un acte de concurrence déloyale de certains de ses salariés, son entreprise a  d’abord été placée en redressement judiciaire avant  d’être finalement mise en liquidation judiciaire. En tant que caution personnelle, ses créanciers ont engagé des poursuites exécutoires à son encontre.

Accompagné par CRÉSUS, Paul a déposé un dossier en ouverture d’une procédure collective non commerciale au Tribunal de Grande Instance. Soutenu par CRÉSUS, il nous fait part de son expérience.  

2. Edmond était gérant d’un restaurant. Quelques mois après son ouverture, il a été victime d’un premier sinistre entrainant la fermeture de son établissement pour deux mois. Un an après,  un second sinistre se déclare entrainant une seconde fermeture. Suite aux retards de paiement accumulés, l’entreprise en placée en redressement, puis en liquidation judiciaire. Edmond est aujourd’hui employé dans la restauration. Accompagné par CRÉSUS,  il nous raconte son histoire.

3. Jacques, vacataire dans la fonction publique,  a accusé  des retards dans le paiement de ses loyers à hauteur de 4 000 euros. A cet effet, il a été contraint de déposer un dossier de surendettement.  Comment vit-il sa situation aujourd’hui ?

4. Alexandra est mariée et mère de deux enfants. Suite à une erreur administrative, elle n’a pu bénéficier de ses allocations familiales pendant trois mois. Les retards de paiement se sont accumulés. Comment a-t-elle réussit à faire face à cette situation?

 

Animateur : Regis Halter, Fanny Schillinger
Réalisation : Olivier Legras

 

 

 

Radio CRESUS lutte contre les idées reçues sur le surendettement et recueille les témoignages édifiants sur l’entrée dans le spirale du surendettement et comment en sortir ! 

Ecoutez les conseils donnés par nos témoins qui parlent en pleine connaissance de cause.

  • Marcelle à contracté 15 crédits renouvelables  à hauteur de 65 000 euros.  Suite à des difficultés de paiement, Marcelle a souhaité procéder à un rachat de crédits afin d’adapter les mensualités de  crédits aux ressources du couple. Comment va-t-elle s’en sortir ?
  • Eric a contracté plusieurs crédits. Il a pu bénéficier d’une faillite civile. Comment a-t-il vécu la situation ?
  • Michèle et son mari ont contracté deux crédits à la consommation et un crédit immobilier. Après  sa séparation d’avec le père de ses enfants, Michèle éprouve des difficultés à faire face aux mensualités des crédits contractés pendant le mariage. Elle a décidé de  déposer un dossier de surendettement.  Où en est-elle dans la procédure ?
  • Michel , alors salarié,  a fait l’objet d’un licenciement suite à  la liquidation commerciale de son entreprise.  En attente du bénéfice de ses indemnités de licenciement, Michel a  des difficultés pour régulariser ses charges. Quelle(s) solution(s) a-t-il mis en œuvre pour s’en sortir ?
  • Carole est mère de trois enfants. Elle a exercé pendant plusieurs mois une activité dans la fonction publique  en tant  qu’agent contractuel. Pour faire face à des difficultés financières, Carole à contracté plusieurs crédits à la consommation dont un prêt personnel et un crédit renouvelable utilisé comme une réserve d’argent.  Comment vit-elle sa  situation aujourd’hui ?  
  • Roger était gérant d’entreprise en nom propre employant plus d’une dizaine de salariés : il a été contraint de procéder à la liquidation commerciale de son entreprise. Accompagné par Crésus, il a  aujourd’hui retrouvé un emploi salarié. Roger nous parle de son parcours.
  • Ecoutez le témoignage de Clémentine qui s’est laissée emporter par la frénésie du « tout à crédit » ; à présent elle doit faire face à l’ensemble de ses mensualités et espère bénéficier d’un délai de grâce pour pouvoir  vendre un de ses biens.

 

Animateur : Regis Halter, Fanny Schillinger
Réalisation : Olivier Legras

 

 

 

Ancien directeur d’un hôtel-restaurant, Lucien a eu de grandes difficultés à s’adapter à sa préretraite. La baisse de ses revenus l’a incité à recourir à des crédits renouvelables qu’il ne parvenait plus à rembourser. Un dossier de surendettement avait été déposé à la Banque de France mais il n’est pas parvenu à respecter le plan mis en place. Après avoir traversé une période de dépression, il nous donne aujourd’hui ses conseils afin de mieux appréhender la transition entre la vie active et la retraite.

 

Le contrôle fiscal de la société de conseil d’Arnaud a eu un gros impact sur sa santé. Actuellement en liquidation judiciaire commerciale, il a définitivement tiré un trait sur ses projets d’entreprenariat. A travers son témoignage, Arnaud s’ouvre aux auditeurs et apporte ses conseils aux chefs d’entreprise afin d’éviter de se retrouver dans une situation délicate.

 

Malgré ses propres difficultés financières, Marie-Françoise doit venir en aide à sa mère âgée de 82 ans. Après avoir découvert que ses loyers n’étaient plus payés depuis plusieurs mois, il s’est avéré que c’était sa sœur qui avait détourné cet argent. Ce témoignage nous en apprend davantage quant aux difficultés rencontrées pour une personne âgée endettée cherchant à se reloger après une expulsion.

 

Carole s’est récemment séparée de son concubin avec lequel elle vivait depuis plusieurs années. Elle nous fait part, dans son témoignage, des conséquences d’un tel déménagement et nous livre ses conseils afin d’éviter de se retrouver dépassé par les dettes.

 

A travers son témoignage, Fabienne nous dresse un portrait des éléments nécessaires à apporter afin de pouvoir contracter un crédit immobilier. La question des assurances y est également développée.
 

Claudie a pu déposer un dossier de surendettement à la Banque de France avec le soutien de CRESUS, dossier qui a été déclaré recevable. Ce témoignage permet de passer en revue les différentes étapes d’une telle procédure, et de mesurer l’importance d’une anticipation des difficultés dans le temps.

 

 

  

 

Bienvenue sur Radio CRESUS en ce samedi 7 novembre 2015 !

Cette émission est notre  « spéciale » consacrée à l’Economie sociale et solidaire.

Vous le savez, le  mois de Novembre, comme chaque année et  depuis 8 ans, est celui qui a été choisi pour mettre à l’honneur et en lumière l’Economie sociale et solidaire dans toute la France.

 

Notre contribution du mois, c’est cette émission : vous y entendrez  des  interviews de personnes de premiers plans, spécialistes et représentants de l’économie sociale et solidaires, et aussi des témoignages d’acteurs de terrain…

 

Qui plus est, nous sommes en pleine semaine de la finance solidaire (du 2 novembre  au 9 novembre 2015 ), ce qui nous amènera à voir comment l’ESS peut changer notre rapport à l’argent.

RadioCRESUS, la radio qui vous aide… à comprendre l’ESS d’aujourd’hui.

Nous avons l’honneur d’ouvrir cette émission spéciale par l’interview accordée  à Radio Crésus par Madame Martine PINVILLE, Secrétaire d’État chargée du Commerce, de l'Artisanat, de la Consommation et de l'Economie sociale et solidaire.

Madame PINVILLE, Secrétaire d’État chargée du Commerce, de l'Artisanat, de la Consommation et de l'Economie sociale et solidaires  (par téléphone)

Un an après la loi du 31 juillet 2014, quelles avancées pour l’ESS ?

  1. La monnaie locale : enjeux et développement
  2. L’agrément épargne solidaire : objectifs et impacts recherchés
  3. Nouvelles régions,  nouvelle carte de France de l’ESS ?

Pour en savoir plus :

Madame PINVILLE, Secrétaire d’État chargée du Commerce, de l'Artisanat, de la Consommation et de l'Economie sociale et solidaires  

Madame PINVILLE, Secrétaire d’État chargée du Commerce, de l'Artisanat, de la Consommation et de l'Economie sociale et solidaires  (par téléphone)

Un an après la loi du 31 juillet 2014, quelles avancées pour l’ESS ?

  1. La monnaie locale : enjeux et développement
  2. L’agrément épargne solidaire : objectifs et impacts recherchés
  3. Nouvelles régions,  nouvelle carte de France de l’ESS ?

Pour en savoir plus :

 

Monsieur Frédéric DECK,  Président de la CRESS ALSACE (en studio)

  1. Ce qu’est l’ESS
  2. Qui est la  CRESS ALSACE ?
  3. Mise en lumière des évènements du mois de l’ESS en  l’Alsace

 

CRESS en soutien aux projets de l'Economie sociale et solidaire (en studio)

  1. La nouvelle programmation pour les financements par les Fonds Européens, Mathilde Jean, chargée de mission CRESS Alsace

  2. L’exemple d’un projet financé : « le Marché Bus », Daniel Starck

 

Interviews d'acteurs de l'ESS

  1. Patrick KOCHESPERGER, Délégué Régional de l’UDES (Union des employeurs de l'économie sociale et solidaire)

  2. Zig et Zag. Info : offres de produits et de services réellement,  Virginie Goblet de la Chambre de Consommation d’Alsace (Venue en studio)

 

Crédit Agricole Alsace Vosges, Marie-Léonce LING FREUDENREICH.

Responsable de la Vie Mutualiste, de l'Animation des caisses locales du Mécénat DGA/ACL 

L’épargne solidaire telle que proposée par CA Alsace Vosges

  1. Quelle différence entre Epargne solidaire et autres formes d’épargne ?

  2. Comment  sensibiliser ses clients à l’épargne solidaire ? (guide d’information,…)

L’engagement du CA Alsace Vosges pour ses clients en fragilité : Point passerelle et Crésus partenaires

 

Ecoutez sur radio CRESUS le conseil unanime de nos témoins :

N’attendez pas pour solliciter de l’aide car le temps qui passe est un ennemi sournois…

 

INTERVIEWS

Suite au licenciement de son épouse, le ménage de Mario se retrouve en grande difficulté financière. Les projets du jeune couple se voient anéantis. Pour maintenir un niveau de vie convenable, les époux contractent sans difficultés, et ceci malgré leur situation, plusieurs crédits renouvelables. Dans l’impossibilité de faire face aux dettes, Mario est contraint de déposer un dossier de surendettement.

Sophie est chef de cuisine. Elle gagne bien sa vie. Sa fille est atteinte de graves problèmes de santé. Sophie doit donc changer d’emploi et perd 50 % de ses revenus. Elle va déposer un dossier de surendettement. Elle nous raconte ses sept années de combat.

Après avoir vécu à Paris pendant une dizaine d’années, Stelly est de retour à Strasbourg. Nourrice, elle a dû souscrire différents crédits pour maintenir un équilibre budgétaire somme toute précaire. Aujourd’hui au chômage, Stelly a peur des poursuites. Elle constitue un dossier de surendettement.

La dynamique Claudie a connu une période très difficile suite à des problèmes de santé. Elle a laissé ses affaires aller à vau-l'eau. Aujourd’hui, elle remonte la pente et dépose un dossier de surendettement.

Max a connu un divorce conflictuel. Des emprunts ont été contractés à son insu. Il tombe malade en raison du stress que provoque sa situation. Pour une question de fierté nous explique Max, il a eu beaucoup de mal à s’adresser à une association. Aujourd’hui, il s’exprime librement. Il nous raconte ses démarches dans le cadre de la constitution d’un dossier de faillite civile de droit local d’Alsace-Moselle.